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03 décembre 2008

Réveillon Comunautaire Roumain 2008-2009




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13 novembre 2008

Des pyramides de béton

La théorie selon laquelle les pyramides ont été bâties à partir de pierres synthétiques ressurgit.
Des chercheurs français et américains soutiennent en effet que certaines sections des pyramides égyptiennes ont pu être fabriquées en pierre synthétique et coulées comme du béton.
La composition des pierres de ces monuments serait plus complexe que celle des pierres des carrières de Toura et de Maadi, d'où auraient été extraits les éléments des tombeaux de Gizeh.
Selon le Français Gilles Hug, de l'Office national d'études et de recherches aérospatiales, et selon l'Américain Michel Barsoum, de l'Université de Drexel, des géopolymères auraient été utilisés.
Des examens poussés
Une analyse menée par radiographie et à l'aide d'une torche plasma montre que certains constituants de ces pierres présentent les traces d'une réaction chimique rapide ne leur ayant pas permis une cristallisation naturelle.
Cette réaction ne s'explique pas si les pierres ont été taillées. Par contre, elle est compréhensible si l'on admet qu'elles ont été coulées comme du béton, estiment les spécialistes.
Une vieille hypothèse
Le chimiste français Joseph Davidovits défend depuis 30 ans la thèse de l'utilisation de béton géopolymère pour l'édification des tombeaux des pharaons. Selon lui, des blocs de calcaire naturel reconstitué auraient été coulés sur place.
Ils auraient été constitués en grande majorité d'agrégats de calcaire naturel et d'un peu d'argile kaolinitique, un silico-aluminate qui se désagrège dans l'eau et auquel aurait été ajoutée de la chaux éteinte.
Les travaux sont publiés dans Science et Vie. Déjà, en 2001, le magazine avait créé une controverse en affirmant que les pyramides étaient en fausses pierres.
La chercheuse Suzanne Raynaud, du Centre national pour la recherche scientifique de France, avait alors relevé des anomalies dans les échantillons prélevés sur ces monuments par rapport aux pierres des carrières.

La Commission Européenne :Renforcement des législations sur l’expérimentation animale

Le 5 novembre, la Commission Européenne a présenté une proposition pour uniformiser et renforcer, au sein des Etats membres, les règles sur l’utilisation des animaux dans la recherche scientifique. En Europe, la directive actuellement en vigueur sur les animaux utilisés pour l’expérimentation date de 1986. Ce texte, assez peu contraignant, a eu pour effet une grande disparité au sein des pays de l’Union. Pour la Commission Européenne, il est donc temps de réviser son texte.
La nouvelle directive veut s’appuyer sur la règle des 3R : Remplacer, Réduire et (R) affiner. Une formule un peu médiatique qui, pourtant, ne date pas d’hier, puisqu’elle fut énoncée dès 1959 par deux biologistes, W. Russel et R. Bruch. Des cultures cellulaires remplacent les souris blanches
Le remplacement vise à favoriser les méthodes dites de substitution à l’expérimentation animale. Les nouvelles techniques, qui s’appuient sur la culture cellulaire, la génomique ou la modélisation par informatique, sont, en effet, très prometteuses. Parmi celles-ci, les « biopuces », développées par la société américaine Hurel, sont composées de compartiments contenant des cultures de cellules vivantes, reliés entre eux par des canaux microfluides. Les « biopuces » sont capables de reproduire le comportement d’organes internes du corps humain, comme le foie, les reins et l’estomac. Un double bénéfice est attendu pour ces techniques, permettant, par exemple, de mesurer le temps de séjour d’un médicament, et de pallier aux discordances entre les réactions des molécules observées chez les espèces animales et celles chez l’être humain. Les progrès de la biologie moléculaire ont également permis d’importantes avancées dans le domaine de la toxicogénomique. Cette méthode d’évaluation des risques toxiques se base sur les réactions au niveau de l’ADN contenu dans le noyau cellulaire. Elle permet d’identifier les gènes qui vont être affectés lors de l’introduction d’une substance et ainsi envisager les modifications encourues par l’organisme, par exemple, des perturbations dans la transmission neuronale ou encore le développement de cancer. Une subordination au comité d’éthique.
Malgré l’existence de ces méthodes substitutives, encore 12 millions d’animaux sont soumis aux expérimentations chaque année en Europe. Pour réduire ce nombre, il convient de renforcer les contrôles. La Commission Européenne entend s’assurer que l’utilisation des animaux est absolument justifiée, ne se fait que lorsque d’autres méthodes ne peuvent pas être mises en œuvre, et dans les meilleures conditions possibles. Toute autorisation devra être subordonnée aux décisions de comités d’éthique. Cette motion existe aux Etats-Unis depuis 1984, et en Europe, qui souffre donc un retard énorme, seuls 16 pays en avaient fait une obligation légale. En France, où une pleine responsabilité est donnée aux chercheurs, un comité national de réflexion éthique sur l’expérimentation animale a été créé en 2005. La réflexion éthique replace les considérations sur la souffrance animale au cœur de la question scientifique. Pour la Commission Européenne, si l’expérimentation ne peut, à ce jour, être totalement supprimée, il convient de garantir que les animaux soient maintenus dans des environnements améliorés et que des protocoles visant à réduire au maximum la douleur soient mis en œuvre (le troisième R, « affiner les méthodes »). La directive proposée s’applique ici à tous les animaux vertébrés non humains vivants, ainsi qu’à certaines autres espèces susceptibles d’éprouver de la douleur. Chez les invertébrés, cela semblerait être le cas pour les céphalopodes, qui possèdent un système nerveux central. Les calmars et autres poulpes ressentent ainsi peut-être la souffrance et sont, en l’occurrence, légalement protégés au Royaume-Uni. On a encore de sérieux doutes pour les insectes quand on voit qu’une sauterelle peut continuer tranquillement son casse-croûte en même temps qu’une mante religieuse est en train de lui dévorer la moitié du corps.
Source : Univers Nature

10 novembre 2008

Nos enfants nous accuseront...

Dans un petit village français au pied des Cévennes, le maire a décidé de faire face, a décidé de réagir en faisant passer la cantine scolaire en Bio. Ici comme ailleurs la population est confrontée aux angoisses contre la pollution industrielle, aux dangers de la pollution agro chimique. Ici commence un combat contre une logique qui pourrait devenir irréversible, un combat pour que demain nos enfants ne nous accusent pas.





Réalisé par Jean-Paul Jaud.Film français. Genre : Documentaire
Durée : 1h 47min. Année de production : 2008
Distribué par CTV International

Le site web Officiel ICI

29 octobre 2008

LES VACCINS : PROTECTION OU ILLUSION ?

La médecine officielle est obsédée par la vaccination. Cette vaccinomanie est, pour elle, la solution incontournable pour prévenir les maladies, une protection contre presque tous les maux. Cette course effrénée pour trouver un vaccin contre toutes les calamités pesant sur l’humanité nous apportera peut-être un vaccin contre les accidents d’autos...
Refuser de faire vacciner nos enfants ou nous-mêmes nous taxe le plus souvent d’irresponsables, de mal renseignés ou d’un manque de civisme (un médecin m’a déjà dit que mon fils non vacciné était une menace pour les autres enfants) Les parents des nouveau-nés subissent eux aussi une pression médicale et sociale. On prophétise à intervalles réguliers une épidémie de rougeole ou de méningite et les écoles se transforment en "piqueries"
Avant de partir pour l’étranger, les cliniques de vaccination conseillent parfois plus de sept vaccins ou rappels, de quoi bousiller complètement le système immunitaire avant même de partir en vacances.
Le succès , auprès du public, d’un livre comme La mafia médicale, de Guylaine Lanctôt, plonge certains médecins dans une crise d’hystérie, proche de la transe fanatique. On s’étonne presque que des bûchers ne soient pas encore prêts pour tous ces hérétiques qui osent remettre en question la validité des vaccins.
L’histoire se répète , puisque au début des années 70, le Dr. Paul-Emile Chevrefils, fut radié des cadres de sa profession par le Collège des médecins suite è son opposition aux vaccins. Il n’hésitait pas èa dire en 1965 : "Les vaccins donnent les maladies, en créent de nouvelles et propagent la mort. La preuve scientifique qu’une provocation artificielle d’une maladie empêche l’apparition d’une maladie naturelle n’a jamais été établie. Comme médecin, je m’élève contre ces vaccinations et proteste contre le mythe de Pasteur".
Depuis 1885, année où on appliqua à l’humain le premier vaccin vivant atténué contre la rage, nombre de médecins et de chercheurs s’opposèrent à cette pratique. A la fin du XIXe siècle, la "Ligue universelle des antivaccineurs" dénonça avec force les théories de Pasteur, pour qui les microbes (germes, virus, etc) sont entièrement responsable de la presque majorité des affections de l’humain et des animaux.
Le monopole de la médecine officielle les fit taire et encore de nos jours, le silence est imposé aux infidèles, des thérapeutes de médecines douces, mais aussi de nombreux médecins, pédiatres, biologistes et chercheurs scientifiques.
Depuis les cent dernières années, cette médecine, avec l’aide des multinationales pharmaceutiques, ignore les thérapies naturelles, écologiques ou holistiques pour faire la "guerre" aux maladies par le biais des vaccins. Les analogies pour se "battre" contre les microbes et les virus sont nombreuses dans le vocabulaire médical : l’agent, l’ennemi, l’identification de l’agent, sa neutralisation ou sa destruction, offensive, contre-offensive. Notre corps est un immense champ de bataille.
Avec sa vision mécaniste de l’humain, la médecine guerrière a provoqué une augmentation alarmante de maladies auto-immunes, telles que le Sida, les otites, l’asthme, l’herpès, les tumeurs, etc. Les infections bactériennes résistent de plus en plus aux antibiotiques et les scientifiques, depuis les vingt dernières années, ont été confronté à un nombre grandissant de maladies inconnues. De nouvelles formes d’hépatite ainsi que des virus entraînant la leucémie et d’autres virus hémorragiques du type Ebola ont font leur apparition.
René Dubos dans son livre Mirage of Health remarque à juste titre : " Le monde est obsédé par le fait que la poliomyélite peut tuer d’infortunées victimes chaque année. Mais ce qu’il y a d’extraordinaire c’est que des millions et des millions de jeunes enfants sont infectés par le virus de la poliomyélite sans souffrir de la maladies. Les virus et les bactéries ne sont pas les causes des maladies, il s’agit d’autre chose."
On peut refuser les vaccins pour d’évidentes raisons de santé mais aussi pour des raisons philosophiques, religieuses ou pour ses liens étroits avec la cruauté de l’expérimentation animale.
Après avoir été confrontée à la vaccination en tant que mère et voyageuse, suite à mes lectures de nombreux livres et rapports de différents points de vue, je ne vois aucun avantage réel aux vaccination x et je les refuse pour toutes les raisons évoquées. Nous avons tous la capacité et la responsabilité de se poser des questions sur les vaccins. Nous n’avons pas à remettre à d’autres notre pouvoir. La santé de notre corps et celles de nos enfants nous appartient, totalement.
IMMUNITÉ ARTIFICIELLE : RÉALITÉ OU ILLUSION ?
La vaccination (ou l’immunisation, selon les termes de la médecine officielle ) est basée sur le concept que l’inoculation de bactéries. De fragments de capsules bactériennes, de toxines bactériennes, de virus ou de fragments de virus, permet de procurer au corps humain les moyens pour se défendre contre une agression biologique avant qu’elle ne survienne. Il s’agit de stimuler le système immunitaire et de provoquer une réponse par un antigène (le vaccin) qui s’exprime par la production d’anticorps (une protéine) spécifiques.
Cette vaccination=immunisation, donc protection. Cette formule ignore la variation des réactions biologiques, variations dans les réponses immunitaires. Personne ne se donne la peine de contrôler les effets immunitaires après la vaccination, pas d’examens après les vaccins pour trouver les titrages d’anti-corps. Pour pallier ces variations immunitaires, on fera des rappels, on revaccinera une deuxième fois comme ce fut le cas pour la rougeole au Québec, au printemps 1996.
Avant la vaccination, on ne s’informe pas vraiment pour savoir si elle sera bien supportée par le vacciné. Mais même si celui-ci est apparemment en bonne santé, des problèmes peuvent survenir :" Un enfant peut être en bonne santé et cependant, un dérèglement récent ou ancien, discret ou évident, souvent même non apparent, de ses systèmes neurovégétatif et hormonal est susceptible de déclencher des accidents de gravité variable" (Dr. Kalmar)
Dès que quelques cas de rougeole ou de méningite pourraient faire croire à une menace d’épidémie, on vaccine massivement sans contrôle préalable sur la santé du vacciné. Chaque automne, au Canada, 4 millions d’individus se font vacciner contre la grippe, en très grande majorité des personnes âgées , parfois de peu de résistance.
Après la vaccination, si on détectait la présence d’anticorps, cela indiquerait-il vraiment une protection contre la maladie ? Dans un article de l’Australian Journal of Medical Technology, le virologue B. Allen rapporte le cas d’un groupe de soldats vaccinés contre la rubéole qui, malgré qu’ils démontraient une production d’anticorps, contractèrent tout de même la maladie, dans une proportion de 80%.
Notre système immunitaire a-t-il vraiment besoin d’agents extérieurs, d’une immunisation artificielle pour bien fonctionner ? Cette immunisation artificielle renforce-t-elle notre système immunitaire ? Des substances associées à la maladie et à la mort peuvent-elles vraiment apporter la santé ?
Les virus ou protéines étrangères des vaccins ne sont pas filtrés par le système digestif ou le foie, mais directement injectés dans le sang et le système lymptatique, leur donnant un accès direct immédiat aux organes. Les vaccins court-circuitent donc totalement nos systèmes de défense naturelle.
Pour la médecine, c’est parce que le système immunitaire du bébé est immature qu’il doit être vacciné. Mais ce bébé n’est-il pas plus vulnérable aux effets toxiques et allergènes des vaccins justement parce que son système immunitaire est en formation ? H. Buttram et J. Hoffman, à la fois médecin et chercheur en biologie moléculaire affirme : " Les vaccination en bas âge ne peuvent pas aider car elles ont des effets dangereux sur le système immunitaire de l’enfant laissant peut-être ce système tellement atteint qu’il ne peut plus protéger l’enfant durant sa vie, ouvrant la voie à d’autres maladies suite à une dysfonction immunitaire"
Même son de cloche chez le professeur Pariente : "Stimuler sans cesse l’immunité n’est pas sans danger".
Introduire dans un organisme des protéines étrangères à son code génétique viole l’intégrité biologique et amène l’épuisement du système immunitaire et non l’immunité. Il s’ensuit un déséquilibre écologique. Nous avons tous en nous des millions de germes microbiens plus ou moins actifs et de virus à l’état latent qui sont en équilibre entre eux et le système immunitaire. Modifier cet équilibre peut avoir des conséquences graves : des microbes jusqu’à là non pathogènes peuvent alors devenir redoutables.
De plus, les virus des vaccins ont des propriétés tout à fait particulières de résistance et des pouvoirs de mutation. Deux virus peuvent se combiner et donner naissance à un hybride bien plus dangereux. Ces virus peuvent rester à l’état latent dans l’organisme pendant des années et ne devenir pathogènes q qu’en présence d’un autre virus, d’un agent physique ou chimique ou tout simplement d’une déficience des défenses immunitaires. En 1969, la revue suisse "Médecine et Hygiène" constatait que depuis la généralisation de la vaccination contre la poliomyélite, certains virus qui jusque là ne provoquaient que des "infections asymptomatiques" devenaient de plus en plus souvent pathogènes. En 1974,le professeur Bastin déclarait que le vaccin contre la rougeole exalte le pouvoir pathogène des adénovirus.
POUR METTRE EN MARCHE CES MÉTHODES DE PROTECTION CONTRE LA NATURE, ON FAIT APPEL À QUOI AU JUSTE ?
Les vaccins, tel que vu précédemment, sont composés de virus ou de bactéries. Par exemple, celui pour la coqueluche provenait à l’origine, du mucus de la gorge d’enfants atteints et celui de la typhoïde, de matière fécale décomposée de patients malades. On retrouve aussi dans les vaccins différents produits chimiques, des antibiotiques, des stabilisateurs et des agents de conservation. D’autres additifs : de la gélatine hydrolysée è titre d’agent stabilisant, du phosphate d’aluminium, du phénol, du sorbitol, du formalin et du thimerosal. Tous des ingrédients toxiques, cancérigènes et allergènes.
Le thimerosal, un dérivé mercuriel est utilisé comme préservateur .( En 2001, on retrouve du mercure dans les vaccins contre la méningite, l’hépatite B et la grippe ). S’élimine difficilement de l’organisme. Dans un étude publiée en 1979, dans le British Medical Journal, 26 patients reçurent un sérum d’immunoglobulines contenant du thimerosal. 19 d’entre eux (soit 73%) virent leur taux de mercure augmenter, fait prouvé par des analyses d’urines. (Le mercure, un métal toxique, s’accumule dans le cerveau et peut causer des dommages importants au système nerveux. Il traverse le placenta pour atteindre le cerveau du foetus et contamine les nourrissons par le lait maternel).
L’aluminium se retrouve dans la majorité des vaccins.
Le formalin (solution contenant 37% de formaldéhyde) inactive le virus dans les vaccins antipoliomyélitique, de la fièvre jaune et de la grippe. Il se retrouve aussi dans ceux de la diphtérie, du tétanos et du DCT (diphtérie, coqueluche, tétanos)
La toxicité du formaldéhyde, du thimerosal et de l’aluminium est reconnue et dûment prouvée par nombre d’études scientifiques.
Les fabricants de vaccins argumenteront que ces produits chimiques se retrouvent en petites quantités dans les vaccins et que leur innocuité fut testée sur des animaux de laboratoire, ce qui n’est pas pour nous rassurer. Leurs effets toxiques, cumulatifs, leurs interactions entre eux et les virus ou microbes forment un imprévisible cocktail pour un bébé de petite taille ou même pour un adulte.
En outre, on peut se demander si ces produits chimiques réussissent vraiment à atténuer le pouvoir pathogène des virus et des bactéries ou à les tuer.
FINIES LES ÉPIDÉMIES GRÂCE AUX VACCINS ?
Pour justifier les vaccinations massives, certains membres de la médecine scientifique tend à démontrer que la baisse de l’incidence des maladies est due à l’introduction des vaccins qui firent disparaître, entre autre, la variole.
La peste, qui faisait des millions de morts autrefois n’existe presque plus et ce, sans qu’un vaccin n’y soit pour quelque chose.
La diphtérie a disparu en même temps dans les pays qui vaccinaient et dans ceux qui ne vaccinaient pas. En Suède, cette maladie a disparu sans aucune vaccination de masse. Selon certaines données épidémiologiques, la poliomyélite a disparu en Europe pendant les années 40 et 50 et ce, sans vaccination de masse.
Nombre de graphiques démontrent à l’évidence que le nombre de décès causés par les maladies infectieuses avait déjà commencé à diminuer avant que les vaccinations ne deviennent disponibles.
Quand elles ont été implantées, le niveau était déjà rendu très bas grâce à une alimentation plus saine, des logements plus salubres, une meilleure hygiène, un statut social plus valorisant, etc.
Certains médecins préfèrent ignorer ces solutions du gros bon sens pour mettre de l’avant les vaccinations de masse. Ils affirmeront, par exemple, qu’au Mali, là où les vaccins sont pratiquement inexistants, un nouveau-né à seulement une chance sur cinq de se rendre à cinq ans. En Afrique, la rougeole tue deux enfants sur cinq au même âge.
Mais ces enfants ne meurent-ils pas plutôt a cause des conditions de vie difficiles que les vaccins ne peuvent améliorer ?
Dans les années 80, l’objectif conjoint de l’Unicef et de l’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) était qu’en 1990, tous les enfants du monde soient vaccinés contre ces 6 maladies : rougeole, poliomyélite, diphtérie, tétanos, coqueluche et tuberculose. Pourtant, des enfants affamés ou mal nourris supportent mal les vaccinations . L’objectif de ces organismes devrait plutôt être de l’eau potable et une alimentation équilibrée pour tous les enfants. Voilà un objectif plus humanitaire pour sauver ces 15 millions d’enfants de moins de cinq ans qui meurent chaque année sur notre planète. Notons que 4 millions d’entre eux meurent à cause de la diarrhée. Il est vrai que ces mesures ne rapporteraient pas grand profit aux compagnies pharmaceutiques.
D’AUTRES MALADIES EN VUE ?
La vaccination ne protège pas et, fait encore plus terrible, elle donne la maladie qu’elle est supposée enrayer.
En Angleterre , en mai 1871, les autorités médicales affirmaient que 87.5% de toutes la population avait été vaccinée. L’année suivante, le pays expérimenta la pire épidémie de variole de toute son histoire, ce qui tua 44,840 personnes. En Ecosse, entre 1855-1875, plus de 9,000 enfants de moins de cinq ans moururent de la variole en dépit du fait que le pays était à cette époque l’un des plus vacciné du monde. En Allemagne, dans les années 1870-71, 100,000 personnes eurent la variole, dont 120, 000 succombèrent à la maladie. 96% d’entre elles avaient été vaccinées.
En fait, la variole sembla cinq fois plus fatale parmi ceux qui étaient vaccinés que parmi ceux qui ne l’étaient pas. Dans on livre The Vaccination Superstition, le Dr. J.W. Hodge note : "Après une soigneuse considération de l’histoire de la vaccination ramassée à même une étude impartiale et compréhensible de statistiques vivantes et de données pertinentes provenant de source sûre, et à la suite d’une expérience à partir du fait d’avoir vacciné 3 000 sujets, je suis fermement convaincu que la vaccination ne peut être montrée comme ayant quelque relation loigque avec la diminution des cas de variole. La plupart des personnes sont mortes de la variole qu’ils contractèrent après avoir été vaccinées."
Le professeur George Dic, en 1973, abonde dans le même sens en disant que lors des décennies précédentes en Grande-Bretagne, 75% de ceux ayant contracté la variole avait été vaccinés.
Des cas de poliomyélite se déclarèrent au Gabon, au Brésil et à Taiwan dans des populations à grande majorité vaccinées.
En 1987, à l’Université d’Alberta, une épidémie d’oreillons ravagea le campus malgré un taux de vaccination de 98%.
Entre janvier et mai 1989, au Québec, sur 1 600 cas de rougeole, plus de 58% des enfants avaient été vaccinés.
D.M. Johnson dans le Journal of the American Medical Association (1969) rapporte des cas de mort par tétanos chez des individus dûment vaccinés.
En 1941, la majorité des enfants de France étaient vaccinés contre la diphtérie, ce qui n’empêcha pas les cas de diphtérie de tripler en 1943.
Les docteur Dettman et Kalokerinos trouvèrent dans les annales du Ministère de la Santé de l’Ecosse le fait que, durant la période allant de 1941 à 1944, 23 000 cas de diphtérie furent déclarés sur des enfants déjà vaccinés, entraînant la mort de 180 d’entre eux.
Dans un essai majeur réalisé en Inde auprès de 260 000 personnes, le BCG s’avéra plus qu’inefficace : il est survenu plus de cas de tuberculose chez les vaccinés que dans le groupe placebo.
DES EFFETS SECONDAIRES ?
A court et à long terme, tous les vaccins présentent des effets secondaires, effets rapportés par les fabricants de vaccins eux-mêmes et décrits dans nombre de revues médicales. Convulsions, fièevre, urticaire, gonflement des ganglions, oedèmes, troubles gastro-intertinaux, apparaissent suite à l’injection du vaccin.
Les médecins conscients de ces effets secondaires ne les réfuteront pas mais concluront que "de deux maux, nous devons choisir le moindre mal". Les vaccins, vraiment le moindre mal ?
Chez plusieurs enfants vaccinés (particulièrement avec le DCT- diphtérie, coqueluche, tétanos) , on dénote des atteintes au système nerveux central, des cas de paralysie et d’inflammation du cerveau.
Selon une étude de Allan Hinman et Jeffrey Copelan publiée en 1984 dans le Journal of the American Medical Association, sur les 3,3 millions d’enfants vaccinés annuellement aux Etats-Unis avec le DCT, 16,038 démontrèrent des crises aiguës et des pleurs persistants - ce qui est considéré par plusieurs neurologistes comme l’indication d’une irritation du système nerveux central ; 8 484 eurent des convulsions ; 8 484 furent en état de choc dans les 48 heures suivant l’injection du DCT.
(Notons que des séquelles neurologiques peuvent survenir après la vaccination même en l’absence de réactions extrêmes) A long terme, les vaccins , en stimulant artificiellement le système immunitaire, ouvrent la porte aux maladies dégénératives, chroniques ou auto-immunes. G. Dettman dans l’Australian Nurses Journal (1977) rapporte que "certaines souches de vaccins peuvent être impliquées dans des maladies dégénératives telles que l’arthrite rhumatoîde, la leucémie, le diabètew et la sclérose en plaques"
Un article dans le British Medical Journal (1967) par Miller abonde dans le même sens :"Plusieurs auteurs allemands ont décrit la relation entre la sclérose en plaques et les vaccinations contre la variole, la typhoïde, le tétanos, la poliomyélite et la tuberculose".
R. Maskowitz, médecin et gradué de Harvard, est convaincu que les vaccins peuvent, à long terme, mener à une déficience du sytème immunitaire et causer : "des maladies considérablement plus graves que la maladie originale, impliquant des structures plus profondes, plus d’organes vitaux et ayant moins la possibilité de se résorber spontanément".
Le pédiatre Mendelsohn m.d a raison de se demander : "Allons-nous échanger la rougeole contre le cancer et la leucémie?" LIÉS À L’EXPÉRIMENTATION ANIMALE ?
Les vaccins découlent directement de l’expérimentation animale , puisqu’en plus de contenir des sous-produits de l’abattoir, ils sont par la suite systématiquement tester sur des animaux. Des milliers de singes , par exemple, souffrent pour l’élaboration des vaccins contre le Sida et l’hépatite.
Les vaccins de la rougeole, de la fièvre jaune et des oreillons se cultivent sur des embryons de poulets. Celui contre l’encéphalite japonaise dans des cerveaux de souris ; ceux contre la polio, la rage, la varicelle et l’hépatite A baignent dans le serum bovin.
Un virus a besoin de matière vivante pour se multiplier. L’embryon de poulet semble pour les multinationales de vaccins un foyer de culture idéal. Après onze jours d’incubation sous une température constante, un technicien injecte un virus dans l’embryon. On laisse le virus se multiplier à l’intérieur de l’oeuf embryonnaire pendant deux ou trois jours. Le liquide dans lequel baigne l’embryon ou l’embryon lui-même est traité vec différents produits chimiques. Cette macé.ration permet selon les fabricants de "digérer l’embryon". La dernière étape consiste à filtrer le liquide, opértion permettant de ne conserver que le virus.
Les embryons de poulet se forment entièrement après 35 heures d’incubation et on peut voir leur coeur battre dès le cinquième jour. Ces futurs poussins proviennent de poulaillers contenant plus de 10 000 poules et près de 700 coqs. De l’élevage intensif dans toute son horreur. Pendant la période de production de ses vaccins contre la grippe, la compagnie pharmaceutique Bio-Vac consomme 160 000 oeufs par semaines.
Les vaccins cultivés sur des cellules animales peuvent contenir des contaminants non décelés par les fabricants. Aucun laboratoire ne peut garantir l’asepsie des cellules animales servant à la culture vacinale.
Le virus de la leucose aviaire contamina la plupart des vaccins contre la fièvre jaune et la rougeole jusqu’à 1962.
Dans la revue américaine Science (1972) le dr. Leonar Hayflick, professeur de microbiologie à l’Université de Stanford en Californie, déclarait : " Un nombre important de reins de singes (25 à 80&) traités pour la fabrication des vaccins, doivent être écartés à cause d’une contamination étendue par un ou plusieurs de 20 virus connus. Il y a au moins plusieurs centaines de milliers de personnes aux Etats-Unis qui ont été inoculées avec les virus vivants SV-40 qu’on a trouvés dans des vaccins antipolio produits sur des cellules de reins de singes. Ce virus SV-40 provoque des tumeurs chez les hamsters et convertit in vitro les cellules humaines normales en cellules cancéreuses".
Le 11 mai 1987 le London Times rapportait des informations concernant un représentant de l’OMS. Ce dernier affirmait avoir des preuves démontrant que l’origine et la prolifération du virus du Sida provenait du vaccin antivariolique administré pendant les 13 années dans les pays du Tiers-Monde par l’OSM. Pour Jeremy Rifking du groupe environnemental The Fondation of Economics Trands : " Il est possible que certaines contaminations de virus animaux dans les vaccins, comme celui de la variole, ont joué un rôle dans l’émergence du sida et d’autres maladies"
Cette fondation croit que le vaccin de la variole et d’autres vaccins contenant du sérum de boeuf/vache peuvent être l’hôte du " virus bovin de déficience immunitaire" et se transmettre à l’humain. Ce virus est semblable au VIH humain.
Un virus voisin, le "virus bovin de la leucémie" (VBL) se retrouve aussi chez les bovins et ressemble à un virus humain, le HTLV-I qui cause une forme rare de leucémie. (Le département américain de l’Agriculture a décelé le VBL dans plus de 60% du bétail américain)
L’antagonisme biologique entre les espèces est si puissant que les virus d’une espèce, inoffensif pour elle (par exemple, le SV-40 est inoffensif pour les singes) peuvent devenir dangereux lorsque transférés è une espèce différente, comme l’espèce humaine, au point de devenir cancérigènes. Le Dr. Leonard Hayflick, déjà cité, fait la remarque suivante : "Les virus animaux cancérigènes les plus importants - ceux qui peuvent être isolés chez les primates, le SV-40 et les adénovirus cancérigènes - ne sont cancérigènes que quand ils passent à une autre espèce. Aucun virus cancérigène de primate ne produit des tumeurs dans l’espèce animale dont le virus est originaire, mais de tels virus peuvent produire des tumeurs dans des espèces animales hétérogènes".
Bien sûr, il s’agit ici de virus connus mais il en existe une multitude qui non décelés peuvent contaminer les vaccins.
En 1966, sept chercheurs allemands du laboratoire Behring trouvèrent la mort en travaillant sur des singes utilisés pour la fabrication des vaccins contre la poliomyélite et le typhus. Trente autres chercheurs été malades sans qu’on puisse identifier le virus responsable.
RAISONS PHILOSOPHIQUES ? RELIGIEUSES ? ÉCOLOGIQUES ?
Comme nous venons de le voir, les vaccins ne semblent pas un signe évident de protection contre les maladies. Par delà le côté strictement de santé, certains évoquent pour les refuser des raisons philosophiques ou religieuses.
Dans les années 80, des groupes opposés è l’avortement voulaient mettre fin à l’usage d’un vaccin contre la rougeole provenant des tissus prélevés sur un foetus obtenu lors d’un avortement. Le vaccin, nommé WI-38, avait été fabriqué en 1962, à partir de tissus de poumon prélevés sur un foetus suédois. Les tissus originaux furent congelés pour servir à produire le vaccin partout dans le monde par culture cellulaire, Des porte -paroles de ces divers groupes trouvèrent l’usage de ce vaccin offensant et répugnant, du point de vue moral. En 1984, ils affirmaient qu’au Canada, c’était le seul vaccin contre la rougeole disponible depuis 1979.
En Inde, on vaccine massivement des disciples de l’hindouisme ou du jaïnisme avec des vaccins provenant de reins de singes ou contenant du serum bovin. Cette population ayant une révérence religieuse pour ces animaux, ignorent probablement le fait et se soumettent à la technologie de l’Occident, une autre forme de colonialisme.
Les vaccins perturbent l’écologie de notre corps, de ceux qui nous entourent et de la planète. Les laboratoires rejettent nombre de produits chimiques servant à l’élaboration des vaccins. En outre, le virus vivant de la poliomyélite, par exemple, en se répliquant dans l’intestin du sujet vacciné, est ensuite excrété en grande quantité dans le milieu extérieur. Les virus deviennent source de pollution.
Après une campagne de vaccination contre la poliomyélite au Costa Rica en 1959, les mouches véhiculaient du virus vaccinal.
Tout vacciné est potentiellement capable de contaminer son entourage. La menace ne vient pas des non vaccinés mais des vaccinés !!
Il peut aussi y avoir le danger qu’un virus s’échappe du lors des recherches. En 1978, une femme travaillant dans un laboratoire de l’Université de Birmingham est morte après la "fuite" d’un virus porteur de la variole.
EN CONCLUSION
Le respect de maladies le plus sovent bénignes doit être envisagé. Les maladies et les dites épidémies apparaissent par cycles et disparaissent d’elles-mêmes.
Nous devons fortifier notre système immunitaire - par une alimentation végétarienne et biologique , une bonne hygiène de vie, etc. - et non l’agresser avec des produits chimiques, des virus d’animaux malades , des substances toxiques et des débris d’abattoir.
En matière de microbiologie, il arrive que ce qu’on croit mort soit vivant. Même constitués de microbes ou de virus atténués ou tués, ces éléments que l’on tient pour inactifs peuvent se réactiver.
Les vitamines A et C se révèlent très utiles contre les maladies infectieuses. Plusieurs chercheurs démontrèrent que la vitamine C par exemple, inactive le virus le l’herpès, de la poliomyélite et de la rage.
En 1937, le Canadian Medical Association Journal, décrivait cette expérience : on administra 1 gramme de vitamine C pendant plusieurs jours à 29 patients souffrant de coqueluche. Les chercheurs trouvèrent que le "traitement abaissa l’intensité, le nombre et la durée des symptômes".
On retrouve dans la littérature médicale d’autres études semblables sur la vitamine C et ses effets thérapeutiques contre la lèpre, la fièvre thypoïde et la dysentrie
Au Québec, AUCUN vaccin n’est obligatoire.
Tout individu peut refuser un vaccin et l’obliger à le faire contrevient aux droits reconnus à l’article 1 de la Charte québécoise et à l’article 7 de la Charte canadienne. Lors d’un jugement rendu en mars 1990, le juge Trudeau a reconnu que lors d’une "épidémie" de rougeole, le parents ne sont pas tenus de faire vacciner leurs enfants mais doivent les retirer de l’école jusqu’à ce que se résorbe la dite "épidémie".
Ancun vaccin n’est obligatoire pour voyager à l’étranger, excepté celui de la fièvre jaune que certains pays (d’Afrique ou d’Amérique du sud) peuvent demander si vous venez d’une zone d’endémie.
Quelques faits sur les vaccins
En Suède, la diphtérie a disparu sans aucune vaccination de masse. Dans les années 50, aux Etats-Unis, après une année de vaccination massive contre la poliomyélite , les cas de cette maladie augmentèrent de 300% dans les états qui vaccinaient. Les cas de poliomyélite en Angleterre entre 1923 et 1953 diminuèrent de 53% avant même l’introduction des vaccinations de masse.
En 1992 , en Grande-Bretagne ,deux vaccins contre la rougeole (Pluserix, Immravax) furent bannis après avoir causé chez de nombreux enfants vaccinés la méningite, la surdité, la paralysie et des troubles de la vision.
En 1995, selon une étude publiée dans la revue médicale britannique The Lancet, la vaccination contre la rougeole pourait jouer un rôle dans la survenue de maladies inflammatoires des intestins comme la maladie de Croh. Le risque de maladie de Crohn est 3 fois supérieur parmi les vaccinés et 2 fois supérieur pour la rectocolite hémorragique, selon un groupe témoin.
Le New England Journal of Medecine (1987) dans un article de Tracy Gustafson, écrit qu’entre 1983 et 1990, des épidémies de rougeole se déclarèrent aux Etats-Unis chez des enfants et de jeunes adultes vaccinés et ayant démontré des anticorps contre la maladie
Dans une épidémie de rougeole à Corpus Christie, Texas (Etats-Unis) en 1985, 99% des enfants atteints avaient été vaccinés ; 12% d’entre eux avaient même reçu un 2e rappel.
Le Dr. Aubrey Tingle, pédiatre et immunologiste à l’Hôpital de Vancouver a découvert que 30% des adultes ayant été exposés au vaccin contre la rubéole, souffrirent d’arthrite allant de jointures endolories jusqu’à un handicap sévère, deux ou quatre semaines suivant la vaccination .
En 197l, à Casper, Wyoming (Etats-Unis) une épidémie de rubéole éclata un an après que 83% des enfants en âge scolaire de la ville aient été vaccinés contre la maladie.
A Birmingham , en Grande-Bretagne, 600 personnes âgées et vaccinées contre la grippe démontrèrent le double de problèmes respiratoires qu’un groupe similaire non vacciné.
Pour diagnostiquer la tuberculose, on a recours au "test cutané à la tuberculine" (cuti-réaction) . Selon le Dr. J. Pilette, ce test peut déclencher des réactions allergiques, de l’asthme, des atteintes oculaires, de la cécité et même le décès, ainsi que des tuberculoses nouvelles ou réactives (surtout en période de croissance ou en cas de tests répétés) .
Un nombre impressionnant d’articles publiés dans des revues scientifiques font état de sévères complications auto-immunes et neurologiques suite à une vaccination contre l’hépatite B : nausées, vomissements, diarrhée, fièvre, urticaire, tachycardie, palpitations cardiaques, zona, eczéma, purpura, paralysie, syndrome de Guillain-Barré, névrite optique, conjonctivite, troubles de la vison, sclérose en plaques, diabète. Aussi des cas d’arthrite, de rhumatisme, de problèmes de foie, d’asthme et même des décès.
Le vaccin contre le méningocoque groupe A,CY et W-113 (méningite) combinés comporte des effets secondaires tels que céphalées, malaises, frissons et fièvre. Celui de l’Haemophilus influenzae (type B/Hib) peut induire des crises convulsives, douleurs au point d’injection, irritabilité, somnolence, diarrhée, vomissement, otite, éruption cutanée et infection des voies respiratoires supérieures. Une étude réalisée au Minnesota (Etats-Unis) démontre le que le H.I.B augmente les risques de développer une méningite.
CE QU’ILS ONT DIT SUR LA VACCINATION....
"Le risque de souffrir de complications sérieuses provenant des vaccins contre la grippe est beaucoup plus grand que la grippe elle-même." Dr. William Frosehaver
"C’est une grande insulte faite au système immunitaire d’un enfant que d’introduire dans son sang les protéines étrangères ou les virus vivants dont sont composés les vaccins d’aujourd’hui" Dr. Moskowitz
"Les vaccins viraux vivants contre la grippe et la polio paralytique, par exemple, peuvent dans chaque situation, dans chaque cas, causer la maladie qu’ils veulent justement prévenir ; les vaccins viraux vivants contre la rougeole et les oreillons peuvent produire des effets secondaires, tel l’encéphalite... Le vaccin viral vivant contre la polio est maintenant la principale cause de la polio aux Etats-Unis et dans d’autres pays... Contrairement aux croyances antérieurement établies à propos des vaccins du virus de la polio, l’évidence existe maintenant que le vaccin viral vivant ne peut être administré sans risque de produire la paralysie... Le vaccin viral vivant de la polio transporte en lui-même le risque de produire la polio paralytique chez les individus vaccinés ou leurs contacts". Dr. Salk (introduisit le vaccin original de la polio dans les années 50)
"Les vaccins peuvent causer l’arthrite chronique évolutive, la sclérose en plaque, le lupus systémique érythémateux, le Parkinson et le cancer." Professeur R. Simpson, de l’American Cancer Society
"La rubéole est une maladie bénigne qui ne requiert aucun traitement médical. Le traitement consiste en repos et en absorption de liquide"..."Les oreillons ne requièrent pas de traitement médical : du repos, une diète légère, beaucoup de boisson et des compresses glacées pour diminuer le gonflement. Les cas d’orchite (atteinte du testicule causant la stérilité) sont extrêmement rares"..."Votre enfant a , aujourd’hui, à peu près autant de chance d’attraper la diphtérie que d’être mordu par un cobra". Robert Mendelsohn m.d-pédiatre
"Le déclin du tétanos en tant que maladie commença avant l’introduction de l’anatoxine dans la population" Medical Journal of Australia (1978)
"L’évidence suggère que les personnes qui sont vaccinées contre la grippe ont approximativement 10 fois plus de chance de contracter le syndrome de Guillain-Barré que ceux qui n’ont pas été vaccinés" Center for Control Diseases (1977)
"C’est une véritable épidémie... Il est grotesque de prétendre qu’il n’existe aucun lien entre l’autisme et la vaccination sauf des coïncidences. La vérité est que des enfants sont blessés par les vaccinations". Dr. Bernard Rimland, directeur et fondateur du Autism Research Inst. Of San Diego
"Pendant 23 ans, j’ai observé que les enfants non vaccinés étaient plus sains et plus robustes que les enfants vaccinés. Les allergies, l’asthme et des perturbations comportementales étaient clairement plus fréquentes chez mes jeunes patients vaccinés. D’autre part, les premiers n’ont pas souffert plus souvent ou plus sévèrement de maladies infectieuses que les autres" Philip Incao, médecin
"Il n’y a pas de raison de croire que le vaccin de l’influenza (grippe) soit capable de prévenir ou de diminuer la maladie. Ceux qui fabriquent ce vaccin savent qu’il ne sert à rien mais ils continuent à le vendre tout de même." Dr. Anthony Morris - anciennement chef du Contrôle des vaccins, gouvernement des Etats-Unis.
"J’appelle ça de la vaccinomanie. Nous sommes arrivés à un point qui n’est plus défendable sur le plan scientifique. Introduire de nouveaux vaccins dans le corps sans savoir comment ils pourront affecter dans le temps les fonctions du système immunitaire frise la criminalité" Nicholas Regush, journaliste médical
"La présence d’un oedème cérébral chez des enfants en bas âge qui meurent très peu de temps après une vaccination contre l’hépatite B est inquiétante... Les enfants en bas de 14 ans ont plus de chance de mourir ou de souffrir de réactions négatives après avoir reçu le vaccin de l’hépatite B que d’attraper la maladie" Jane Orient, médecin, directrice de L’Assocaiton des Médecins américains et des chirurgiens
"Les parents d’enfants autistes rapportent couramment des désordres neurologiques immédiatement après l’inoculation avec le RRO (Rougeole, rubéole, oreillons) et le DCaT (Diphtérie, Coqueluche1acellulaire et tétanos) Dr. Vijendra Singh, professeur d’immunologie
En 1992, une étude publiée dans The American Journal of Epidemiology a démontré qu’un enfant a 8 fois plus de chance de mourir, trois jours après avoir reçu le vaccin DCT (diphtérie, coqueluche et tétanos) qu’un enfant non vacciné.
Une étude préliminaire du Center for Disease Control, Etats-Unis, sur le vaccin HIB(Haemophilus influenzae type b/hip) indique qu’un enfant vacciné peut 5 fois plus contracter la maladie qu’un enfant n’ayant pas reçu le vaccin.
Le New England Journal of Medecine (juillet 1994) a publié une recherche concluant que 80% des enfants en bas de 5 ans qui avaient contracté la coqueluche étaient pourtant vaccinés contre la maladie)
Au Japon, après l’introduction en 1994 d’un vaccin RRO (rougeole, rubéole, oreillons) on a vu s’accroître dans les mois suivants, une augmentation dramatique de cas de méningites chez les enfants vaccinés. Le même phénomène s’est répété en France et en Grande Bretagne. Le vaccin en cause serait celui de la rougeole.
Marjolaine Jolicoeur, AHIMSA , Ste-Rita - (avril 2001)

27 octobre 2008

Le nouvel ordre mondial pour les nuls

Le Nouvel ordre mondial ou le zapping du nouvel ordre mondial.Ordo ab chaos : l'ordre a partir du désordre.
EFFONDREMENT MONETAIRE INTERNATIONAL : NOVEMBRE 2008
EFFONDREMENT MONETAIRE INTERNATIONAL : NOVEMBRE 2008
TOUT EST PROGRAMME !
Une vidéo pour les novices du nouvel ordre mondial qui ne savent pas ce que c'est. Vous verrez un tour d'horizon rapide pour comprendre un peu les fondements pour la mise en place d'un "NOUVEL ORDRE MONDIAL"
En mai 2003 bien avant les événements qui surviennent actuellement Olivier De Ducla prédit un "krach PROGRAMME". Cette personnalité du monde des affaires a fait carrière en tant qu'analyste et courtier des marchés internationaux. Tout ce qu'il prédit dans son livre et entrain de se produire AUJOURD'HUI !! Par exemple les prix de l'immobilier sont entrain de baisser et il l'avait prévu dans son livre. Il ne s'agit pas d'un homme dotés de pouvoir mais d'un homme honnête et intègre disant la vérité. Mais là se pose la question : si lui savait tout ça, est ce que les autres AUSSI ? Est ce que notre classe politique connaissait toutes ces prévisions ? C'EST EVIDENT !! N'est ce pas madame Lagarde ?! Vous avez la preuve que depuis des années la classe politique est rongé par l'argent et pourrit par la course au pouvoir !! Cet effondrement total du système financier est la seconde étape vers le nouvel ordre mondial !! Tout est prévu et organiser depuis bien longtemps alors il serait peut être temps de se réveiller!! Si jamais ou par hasard vous n'avez jamais entendu parlé du Nouvel ordre Mondial qui va se faire par la force alors renseignez-vous MAINTENANT, il vous reste peu de temps !
Le Krach est PROGRAMME !!! C'est Un fait et le bouquin de ce type en est la preuve !!


LE KRACH A ETE PROGRAMME !

13 octobre 2008

Le point zéro et résonance de Schumann

Mythes moderne ?

Avez-vous déjà senti le Quickening ?

Le changement des âges était déjà arrivé, il y a longtemps !
Les anciennes prophéties l'avaient prédit, les traditions indigènes l'honorent.
Les changements à l'intérieur de la Terre ont affecté vos habitudes de sommeil, vos relations avec les autres, l'habilité à réguler votre système immunitaire et votre perception du temps. Vous vivez un processus d'initiation qui fut expérimenté durant les 2000 dernières années. Vous préparant à accepter l'énorme changement à l'intérieur de vos corps. Ce changement est arrivé, maintenant !

Migraines, maux de tête, grande fatigue.
Sensations électriques dans les membres et dans la colonne vertébrale.
Crampes musculaires.
Symptômes de la grippe.
Rêves intenses.
Tout cela est causé par les changements qui prennent place sur la Terre, maintenant !
Le corps humain deviendra plus sensible, ce qui sera le résultat des nouvelles vibrations.

La Résonance de la Terre ( résonance Schumann ) était de 7,8 Hz depuis des milliers d'années. Depuis 1980, insensiblement, puis plus vite depuis 1997, cette mesure est arrivée à la hauteur de 12 Hz. Ce qui fait que 24 heures de nos jours correspondent maintenant à seulement 16 heures réelles.
Le temps est devenu plus rapide !
Le corps physique a déjà commencé à changer. Une nouvelle Lumière du corps est en création.
Notre ADN est reprogrammé par l'Univers ( comme prédit par la prophétie Maya). Nous allons vers le deuxième degré sur les 12 degrés que comporte l'ADN.
Une plus grande intuition et des capacités de soin émergent. Chaque année qui passe multiplie ce potentiel par 10.
Les yeux deviennent comme les yeux des chats pour être en adéquation avec la nouvelle atmosphère et une nouvelle lumière.
Tous les enfants nés après 1998 seront probablement télépathes à la naissance.
Tous les fléaux des années 90, y compris le Sida, s'effaceront. (Note: Texte apparu avant cette date)
Point zéro et résonance de Schumann

Gregg Braden est actuellement en voyage à travers les Etats-Unis et présent dans les médias, exposant que la preuve scientifique du passage de la Terre à travers la ceinture de photons et le retardement des rotations de la Terre est en marche. En même temps, il y a une augmentation dans la fréquence de résonance de la Terre ( Résonance Schumann). Quand la Terre arrêtera ses rotations et que la fréquence atteindra 13 cycles, nous serons au point zéro du champ magnétique. La Terre sera stoppée et en deux ou trois jours, elle commencera à tourner dans l'autre sens. Cela produira un renversement dans le champ magnétique autour de la Terre et en elle.

Conditions Géophysiques :

1 - La base de la fréquence terrestre, la base de la fréquence du sous-sol terrestre ( ou battement de cœur de la Terre)( appelée résonance Schumann ou SR) a augmenté dramatiquement à travers des variations entre des régions géographiques, depuis quelques décennies. Les mesures d'ensemble étaient de 7,8 cycles par secondes. Cela était aussi une forme de constante. Fréquence sur laquelle toutes les communications militaires globales s'étaient développées et basées.
Une récente série de rapports fait état que la vitesse est au-delà de 11 cycles et grimpe encore. La science ne peut expliquer pourquoi, ou ce qu'on peut y faire !!!
La théorie de Gregg Braden se fonde sur les résultats des chercheurs norvégiens et Russes sur ce point. Ce n'est pas radicalement le cas aux Etats-Unis ( où la seule référence aux SR est référencée à la bibliothèque de Seattle, section référence sur le temps ???)
Les connaissances de la science concernant les SR, concernent la variation des températures et les conditions climatiques mondiales. Braden croit que les fluctuations SR peuvent être un facteur déterminant des tempêtes sévères, inondations et temps extrêmes des dernières années.

2 - La diminution du champ magnétique terrestre pendant que les pulsations Terrestres accélèrent en vitesse montre à l'évidence que la force magnétique décline.
En accord avec le professeur Banerjee de l'Université du nouveau-mexique, le champ aurait perdu la moitié de son intensité durant les 4000 dernières années.
Et parce qu'un renversement polaire magnétique précurseur a déjà eu lieu, le professeur Banerjee croit qu'un autre renversement est attendu.
Braden croit que parce que les changements cycliques sont associés avec les renversements, le disque géologique terrestre indique les renversements magnétiques qui ont marqué son histoire. A l'intérieur de l'énorme échelle de temps, il y a assez peu de cas de tels renversement.

Qu'est ce qu'une Résonance Schumann ?

Croyez le ou non, la Terre se conduit comme un énorme circuit électrique.
L'atmosphère est actuellement un fragile conducteur et si elle n'existait pas entre les sources de charges, il existerai une charge électrique qui pourrait diffuser des éclairs énormes toutes les dix minutes.
Il y a une « cavité » définie entre la surface de la Terre et le dernier rempart de la Ionosphère à 55 kilomètres de distance.

A un moment, la charge totale se trouvant dans la cavité est de 500 000 Coulombs. Il y a un courant vertical entre le sol et la Ionosphère de 1-3x10 puissance 1-12 ampères par mètre carré. La résonance de l'atmosphère est de 200 Ohms . Le voltage potentiel est 200 000 Volts. Il y a environ 1000 tempêtes avec éclairs qui auraient lieu tout autour de la Terre. Chacune d'entre elles produit 5 à 1 ampère et cela est collectivement compté (mesuré) par le courant modérateur électromagnétique terrestre.

La résonance Schumann est quasiment comme une vague électrique, électromagnétique immobile parmi les autres vagues électromagnétiques de la Cavité. Comme les vagues d'équinoxes du printemps qui ne sont pas présentes tout le temps mais qui ont été suffisamment élevées pour être observées.
Ces vagues ne sont pas causées par rien d'intérieur à la Terre, sa croûte ou son cœur.
Il semble y avoir un rapport avec l'activité électrique de l'atmosphère. Particulièrement au moment d'intenses activités de foudre.
Les vagues se produisent sur plusieurs fréquences entre 6 et 50 cycles par seconde. Explicitement 7,8 ; 14, 20, 26, 33, 39 et 45 Hertz avec une variation par jour de 0,5 Hertz. Aussi longtemps que les propriétés de la cavité électromagnétique de la Terre resteront les mêmes, les fréquences resteront les mêmes.

Vraisemblablement il y a des charges dues aux flux Solaires qui font changer la Ionosphère terrestre tous les 11 ans de cycle d'activité solaire. La résonance Schumann fluctue alors entre 2000 et 2200 Unités de mesures.
Disons que l'Atmosphère de la Terre transporte une charge, un courant, un voltage, il n'est donc pas surprenant d'y trouver quelques charges électromagnétiques !

Les propriétés résonantes de cette cavité magnétique Terrestre furent pour la première fois découvertes par le physicien allemand W.O Schumann entre 1952 et 1957 et détectée réellement par Schumann et Koenig en 1954.
La première représentation spectrale de ce phénomène fut réalisée par Basler et Wagner en 1960. Davantage de recherches furent conduites dans les 20 dernières années par le département de recherche de la Navy qui a enquêté sur des fréquences extrêmement basses, pour les communications avec les sous-marins.

Pour plus d'information, voyez « le manuel de l'électrodynamique atmosphérique. Volume 1. » de Hans Volland.1995 publiée par le CRC Press.

Le chapitre 11 est presque entièrement consacré à la résonance Schumann et a été rédigé en collaboration avec David Campbell de l'institut géophysique de l'Université d'Alaska a Fairbanks.A K 99775.

Il y a aussi une histoire de cette recherche et une bibliographie étendue.

Possibles résultats de ces changements

1 - Le temps va paraître de plus en plus rapide au fur et à mesure que nous approcherons du point zéro. 24 heures d'un jour sont actuellement de 16 heures effectives, mais cela va encore augmenter. Souvenez-vous que la Résonance Schumann ( battement de cœur de la Terre Mère) était de 7,8 cycles depuis des milliers d'années. Mais que cela a changé depuis 1980, d'abord lentement, puis beaucoup plus vite depuis 1997. Actuellement la Terre atteint 12 cycles ( 12 Hz) et s'arrêtera à 13 cycles (d'où la symbolique du chiffre 13).

2 - Le point zéro ( ou le changement « shift » des âges), période qui fut prédite par les anciens peuples depuis des centaines d'années va se réaliser.
Il y a eu beaucoup de shifts incluant celui qui nous préoccupe, mais tous n'ont pas été aussi sévères que celui-là. Shifts qui arrivent toujours chaques 13 000 ans, soit la moitié de 26 000 qui équivaut à une procession d'équinoxes.

3 - Le point zéro ou retournement des pôles magnétiques arrivera probablement sous peu, dans les toutes prochaines années. Il pourrait y avoir synchronicité avec le quatrième cycle de biorythme de la Terre qui arrive tous les 20 ans au 12 Août. Le dernier était prévu pour le 12 Août 2003.

Le «philadephia Expériment» ou le projet Montauk (secret militaire concernant les voyages dans le temps) était clos au 12 ème jour d'Août 2003, aux 20 ans de biorythme.

4 - Il est dit qu'après le point zéro, le Soleil se lèvera à L'Ouest et se couchera à L'Est, approximativement. L'existence de ces changements dans le passé qui ont été retranscrits dans les rapports écrits des anciens, ne peut être mise en doute.

5 - Ce qui est intéressant, c'est que le Nouvel Ordre Mondial était à son plus haut potentiel en 2003. Mais cela arrivera peut-être plus tôt, beaucoup plus tard ou pas du tout et cela dépendra de plusieurs facteurs et ordres du jour prévus par des forces qui nous dépassent. Restez centrés sur vos impressions, vos intuitions et suivez-les !

6 - Le lancement du point zéro nous introduira probablement dans la quatrième dimension. Ici, chaque chose que vous penserez ou désirerez se manifestera instantanément... mais cela implique l'Amour et la Peur... Votre INTENTION personnelle sera de la plus grande, de la plus extrême importance.

7 - Beaucoup de technologies que nous connaissons, cesseront d'être opérationnelles. Les possibles exceptions pourraient être les technologies fondées sur le principe du point zéro ou les énergies libres (Orgone, etc...) déjà développées par certains scientifiques, sous le manteau.

8 - Notre corps physique est en plein changement et le sera encore d'avantage plus nous approcherons du point zéro. Notre ADN est gradué sur 12 graduations, nous allons en franchir une très bientôt. Une nouvelle lumière corporelle est créée. Nous devenons plus intuitifs.

9 - Le Calendrier Maya a prédit les changements qui arrivent maintenant. Ils disaient que nous irions au-delà des technologies et que nous reviendrions aux cycles naturels de la Nature et de l'Univers. Vers 2012 nous entrerons dans la cinquième dimension ( après le saut dans la quatrième dimension, au point zéro).

Toutes ces informations ne sont pas effrayantes, soyez préparés pour les changements qui arrivent, qui amènent le nouvel âge de la Lumière. Nous sommes arrivés au-delà de l'argent et les temps basés sur les concepts de Peur seront bientôt complètement dissous. Nous sommes sur le pont de faire un grand voyage.

Tout le monde à Bord !!!

(Sources : L'éveil au point zéro, par Gregg Braden)
(Note d’Administrateur du Site : certaines réserves sur le texte ci haut )
L'explication scientifique

Les résonances de Schumann

Les résonances de Schumann sont un ensemble de pics spectraux dans le domaine d'extrêmement basse fréquence (3 à 30 Hertz) du champ électromagnétique terrestre. Ces résonances globales dans la cavité formée par la surface de la Terre et la ionosphère, qui fonctionne comme un guide d'onde, sont excitées par les éclairs. Le mode principal a une longueur d'onde égale à la circonférence de la planète et une fréquence de 7,8 Hz, sont présentes les harmoniques à 7,8, 14,3, 20,8, 27,3 et 33,8 Hz.
Elles sont nommées d'après le physicien allemand Winfried Otto Schumann qui les prédit dans les années 1950. Elles furent observées dans les années 1960.

Prédiction et observation
La prédiction des résonances de Schumann est attribuée au physicien allemand Winfried Otto Schumann qui les prédit dans les années 1950, mais il fallut attendre une décennie pour qu'elles fussent mesurées. George Francis Fitzgerald (en 1893) et Nikola Tesla (en 1900) avaient déjà émis l'idée que la cavitée surface-ionosphère puisse servir de guide d'onde, calculé l'ordre de grandeur du mode principal et émis l'idée que les orages puissent exciter la résonance.

Théorie

Dans l'hypothèse d'une ionosphère et d'une surface terrestre de conductivité électrique infinie, les résonances vérifient la formule :

c est la vitesse de la lumière ;
RT est le rayon de la Terre ;
et n l'ordre de l'harmonique.
En raison de la conductivité finie de la Terre et de la ionosphère, les pics se situent à une fréquence plus basse que celle prédite par la théorie et sont élargis. De plus, des asymétries sont liées à l'alternance jour-nuit, à la variation longitudinale du champ magnétique terrestre, à des perturbations ionosphériques et à l'absorption par les calottes polaires.
(La source ICI)

07 octobre 2008

Du charbon propre?

Plus de la moitié de l’électricité produite en Amérique du Nord provient de centrales au charbon, le combustible qui cause le plus de gaz à effet de serre. Des scientifiques tentent de le rendre moins polluant, notamment en enfouissant le gaz carbonique qu’il génère dans le champ pétrolifère de Weyburn, en Saskatchewan.


[Le reportage de Gilles Provost et de Louis Faure]


[La suite]

Radio-Canada

02 octobre 2008

Une bactérie mangeuse de cholestérol

Pour la première fois chez l'humain, une bactérie du tube digestif qui dégrade le cholestérol en une substance éliminée par les voies naturelles a été identifiée.
Selon les chercheurs de l'Institut national de la recherche agronomique de France à l'origine de la découverte, la bactérie baptisée Bacteroides dorei Strain D8 pourrait être utilisée pour diminuer le taux de cholestérol trop élevé d'une personne à risque.
D'autres équipes avaient déjà identifié quelques bactéries présentant ces propriétés chez le rat, le cochon et le babouin.


" Aucun laboratoire n'avait réussi à isoler chez l'homme des bactéries responsables de la transformation du cholestérol en coprostanol éliminé dans les fécès. — Philippe Gérard "


Chez les animaux, ce sont des bactéries d'un genre différent appelé Eubacterium qui assurent cette transformation.
Les chercheurs pensaient donc que c'était le seul genre de bactéries capables de le faire.


Une enquête intestine
La médecine connaissait le rôle de la flore intestinale humaine dans cette transformation depuis les années 30. Elle n'avait cependant pas identifié quelles bactéries, parmi les 100 milliards présentes dans un gramme de matière contenue dans le côlon, en étaient responsables.
Une fois le type de bactéries identifié, les chercheurs ont constaté que les personnes transformaient plus ou moins le cholestérol au niveau du côlon, en fonction du nombre de bactéries présentes.


Concentration en question
Les travaux montrent que l'efficacité à transformer le cholestérol varie d'une personne à l'autre selon le nombre de bactéries:


*100 millions de ces bactéries par gramme de matière transforment totalement le cholestérol.
*lorsque la concentration varie entre 1 et 100 millions/gramme, la transformation est partielle.
*à moins d'un million de bactéries par gramme, le cholestérol n'est pas transformé.


En outre, les chercheurs ont observé que la densité de cette bactérie augmente au fur et à mesure que l'on descend dans le tube digestif, pour devenir maximale dans le côlon, c'est-à-dire le gros intestin.


Toutefois, le cholestérol est absorbé plus haut dans l'intestin grêle chez l'humain. De plus, cette bactérie est active sur le cholestérol présent dans les aliments, alors que chez l'humain la plus grande partie du cholestérol est fabriquée par le corps à partir des graisses saturées ingérées.


L'objectif serait donc, selon le Dr Philippe Gérard, de trouver les gènes et les enzymes responsables de la transformation par la bactérie du cholestérol du côlon, afin de créer des traitements médicaux.


[Les travaux sont publiés dans Applied and Environmental Microbiology.]

Rôle important du cholestérol dans le cerveau
Une étude franco-allemande démontre que le cholestérol, présent dans le cerveau, joue un rôle majeur dans la formation des points de contact entre les neurones, eux-mêmes indispensables au développement cérébral.

Cette étude ouvre de nouvelles pistes de recherche afin de mettre au point des traitements qui permettraient la réparation des synapses (des points de contact entre les neurones) à la suite d'un accident ou du déclenchement de la maladie d'Alzheimer.
L'étude conclut à un lien fort entre le métabolisme du cholestérol cérébral et le développement des synapses reliant les neurones, clé des capacités d'apprentissage et de mémoire.

Le fonctionnement cérébral dépend en effet de l'échange de signaux électriques entre les neurones, qui passent par ces synapses. La formation de ces synapses est une phase décisive du développement du cerveau et de ses capacités d'apprentissage et de mémoire.

Selon l'étude, les neurones produisent suffisamment de cholestérol pour leur survie et leur développement mais pas assez pour la formation des synapses. Ils dépendent donc de sources extérieures pour le cholestérol manquant.

Mais les chercheurs ont découvert que le cerveau ne peut pas aller s'approvisionner en cholestérol dans le sang, car les lipoprotéines qui transportent le cholestérol sont trop grosses pour franchir la barrière sang-cerveau. En conséquence, le cerveau dépend de sa propre production de cholestérol.

[Les travaux de l'équipe de chercheurs sont publiés dans la revue américaine Science.]

01 octobre 2008

Cinéma Numérique : Zoom sur le nouveau standard proposé par la Digital Cinema Initiatives !

Encore à l'état d'expérimentation, le cinéma numérique n'est présent actuellement que dans un nombre assez limité de salles, et cela à l'échelle internationale. On en compte à ce titre à l'heure actuelle environ 300 dans le monde entier et sur le territoire français, que dire, seulement une douzaine ! Les raisons de cette absence sont simples : il s'agit avant tout d'une technologie de projection cinématographique relativement nouvelle et qui ne disposait pas encore de véritables normes techniques permettant de la rendre universelle et par là même de la standardiser à l'échelle mondiale.

Mais, innovation oblige, c'est en date de la fin du mois de juillet 2005 que la DCI, Digital Cinema Initiatives, organisation fondée en 2002 et regroupant les 7 plus grands et importants studios Hollywoodiens, a publié un document rassemblant l'ensemble des spécifications techniques permettant de normaliser la projection digitale des films dans nos salles obscures ! Véritable pas de géant fait pour l'avenir du cinéma mondial, cet évènement représente il est certain un tournant historique pour les accros du tout numérique, à l'instar de George Lucas, premier véritable défenseur du « Digital-Cinema » ! Quels sont les principaux avantages du cinéma numérique vis-à-vis d'une projection classique en 35 MM ? Quelles sont les caractéristiques techniques que nous propose la DCI dans ce nouveau document ? Voici les points clés qui vous permettront de saisir le fonctionnement global des projections d'un tout proche avenir !
Grâce au numérique : une baisse sans conteste des coûts de projection !

Les avantages de ce qu'on appelle communément dans le jargon le « D-Cinema » («Digital Cinema», ou encore «Cinéma Numérique» pour les francophones) sont nombreux et ont déjà fait l'objet de maintes discussions par les professionnels et autres amateurs de technologies cinématographiques. D'abord, rappelons que chaque année, tous les studios de cinéma dépensent des sommes colossales (on parle de dizaines de millions de dollars) dans la production des pellicules 35mm, encore actuel standard en terme de projection et toujours nécessaires pour approvisionner l'ensemble des salles du monde entier.

Compte tenu du nombre important de langues et de sous-titres que les studios doivent considérer pour sortir leurs films à l'échelle internationale, rien ne sert de rappeler la complexité et le coût engendré par ces copies 35mm ! En ajoutant à cela les dommages inévitables que rencontrent ces pellicules à l'issue de projections répétées (rayures, lignes, sauts d'images et coûts de maintenance du matériel), tout porte à croire que le 35mm a une durée de vie moyenne relativement limitée !

Face à cela, la projection numérique reste sans conteste, point de vue studio, la technologie la moins coûteuse, puisqu'une fois l'investissement réalisé en terme de transfert des données numériques, les films pourront être dupliqués, sans coût, vers l'ensemble des cinémas équipés de la planète. Notons, qu'un seul et même « package » de données pourra contenir à la fois tous les sous-titres, ainsi que toutes les pistes audio nécessaires pour assurer l'approvisionnement des films quel que soit le langage du pays ! La création de films étant aujourd'hui à la fois chose artistique et commerciale, la technologie la moins coûteuse sera considérée, rien qu'à ce titre, la plus avantageuse !

25 septembre 2008

slotMusic : la micro SD remplace le CD

Sandisk annonce slotMusic, une initiative qui vise à remplacer le CD par une carte microSDMicro SD est l’acronyme du terme anglais « Micro Secure Digital », que l’on pourrait traduire en français par « Micro carte numérique sécurisée ». Il .... Concrètement, Sandisk s’est associé avec EMI Music, Sony BMG, Universal Music Group, et Warner Music Group pour fournir des cartes microSD (de 1 Go) chargées avec de la musique. Pas de version sans compression.

La compression traite de la façon dont il est possible de stocker un certaine quantité de données dans un espace moindre que lorsqu’elles sont stockée... (malheureusement) mais tout simplement du MP3Codec audio compressé qui est devenu le principal format utilisé sur Internet et par les baladeurs numériques. Le MPEG-1 (ou MPEG-2) Layer 3, dit MP3,..., sans DRMDigital Rights Management (Gestion numérique des droits). Procédé consistant à contrôler les conditions de lecture et d’utilisation de documents numér... et avec un débitLa bande passante telle qu’utilisée lorsque l’on parle de réseau définit la quantité d’informations numériques que le réseau permet de faire transiter... qui peut atteindre 320 kilobits/s (a priori en fonction des albums).

Les cartes seront distribuées dans les Wal-Mart et autres Best-Buy, et un lecteur de cartes en USBBus de connexion par câble de périphériques externes qui est aujourd’hui la norme la plus répandue. L’USB (Universal Serial Bus) est une norme apparue... sera fourni.

Trop tard

Le principal problème, selon nous, vient d’un placement marketing gênant : on n’a ni le bel objet que certains recherchent avec le CD (tout du moins l’emballage) ni la facilité du téléchargement. Et le fait que la musique est fournie compressée, même sans DRM, est un défaut. Et accessoirement, c’est un peu tard : une bonne partie des consommateurs préfèrent la musique «gratuite», qui est vue par beaucoup comme tout à fait légale.

Le prix n’est pas connu, mais s’espérons qu’il soit plus faible que celui du CD et proche de celui de la musique en téléchargement légal.

24 septembre 2008

Le téléphone mobile de Google défie l'iPhone et le BlackBerry

Google fait ses premiers pas sur la planète mobile. Dès le 22 octobre, les consommateurs américains pourront opter pour un téléphone équipé du logiciel Android de Google, le G1. En s'abonnant pour deux ans à l'opérateur mobile T-Mobile USA, il leur en coûtera 179 dollars. Soit un prix inférieur de 20 dollars àcelui de l'iPhone 3G, introduit par Apple en juillet.

Avec cette entrée sur le marché de la téléphonie mobile, Google vient défier Apple, mais aussi le leade

r mondial Nokia ou encore des marques comme BlackBerry.

Comme tous ses concurrents, le mobile estampillé Google est considéré par les spécialistes comme un "smartphone", c'est-à-dire un modèle capable de se connecter à l'Internet mobile et d'offrir des services évolués.

Le produit, dévoilé mardi 23 septembre par T-Mobile à New York, a été conçu par la société taïwanaise HTC. Il possède un écran tactile, un clavier coulissant, un GPS intégré et, bien sûr, un accès automatique à l'univers Google, c'est-à-dire à sa messagerie, son moteur de recherche, son logiciel de cartographie, mais aussi à YouTube. Signe de la volonté de concurrencer l'iPhone, le G1 a été présenté avec un téléchargement de musique d

'Amazon.

Les consommateurs ne devraient pas faire le pied de grue devant les magasins, attendant de s'engouffrer dès l'ouverture des portes. Une frénésie à laquelle les fanatiques de la marque Apple ont parfois succombé. Le logo HTC, même accompagné d'un "Google Inside", n'a pas le même pouvoir de séduction que la marque à la pomme. Lors de la sortie de l'iPhone 3G, Apple a déclaré avoir écoulé un million d'exemplaires en trois jours dans le monde. La société d'études Strategy Analytics table, cette fois, sur une vente de 400 000 unités du G1 aux Etats-Unis et de 200 000 en Europe d'ici à la fin de l'année.

Mais cette incursion de Google sur le marché américain du mobile n'est qu'un premier pas. Le G1 devrait aussi être proposé aux consommateurs européens. D'abord en Grande-Bretagne en novembre, puis dans d'autres pays en 2009. L'opérateur mobile allemand T-Mobile devrait être suivi par d'autres et la gamme des terminaux s'étoffer avec les modèles des coréens Samsung et LG.

FORTE CROISSANCE

Pour Google, il s'agit d'extrapoler sa domination du marché publicitaire du PC vers le mobile, au moment où l'accès Internet mobile prend son essor.


Mais le marché en forte croissance des smartphones, qui représentait, selon l'Idate, 13 % du marché des téléphones mobiles dans le monde en 2007 avec 145 millions d'unités, est très disputé. Il est dominé par le finlandais Nokia, qui en détient près de la moitié selon Gartner.

Viennent ensuite le Blackberry de la société RIM, accessoire obligé de tous les patrons, puis tous les modèles équipés de logiciels Windows. Sans oublier l'iPhone d'Apple, dont l'arrivée en 2007 a popularisé le concept du smartphone auprès du grand public.

Laurence Girard


22 septembre 2008

La Terre surexploitée, avertit l'ONG américaine Global Footprint Network

PARIS (AFP) - La Terre ne parvient plus à suivre le rythme effréné de consommation des ressources naturelles, avertit l'ONG américaine Global Footprint Network, affirmant que la demande actuelle dépasse de 40% la capacité de la planète bleue.

Chaque année, la date à laquelle nous avons consommé la totalité de ce que la planète peut produire en un an avance: cette année, c'est le 23 septembre, selon le Global Footprint Network.
Ce qui signifie que la Terre a besoin actuellement d'un an et trois mois pour produire tout ce qui est consommé dans le monde en une année.

Et cette date d'épuisement des ressources annuelles naturelles de la Terre - dénommée Earth Overshoot Day - tombe de plus en plus tôt car notre consommation ne cesse d'augmenter, souligne cet organisme.

Chaque année, le Global Footprint Network calcule l'empreinte écologique de l'humanité - la pression exercée sur les cultures, les forêts, les ressources halieutiques, etc - et la compare avec la capacité des écosystèmes à régénérer ces ressources et à absorber les déchets produits.
Tout a commencé le 31 décembre 1986: à cette date, pour la première fois de l'histoire, l'humanité avait consommé en un an la totalité de ce que la Terre avait produit dans l'année.
Mais dix ans plus tard, nous utilisions déjà 15% de plus de ce que la Terre pouvait produire annuellement: le jour d'épuisement tombait en novembre.

L'année dernière, c'était le 6 octobre, et cette année le 23 septembre, l'humanité continuant à vivre au-dessus de ses moyens écologiques.
Ainsi, les arbres sont abattus plus rapidement que d'autres ne repoussent et les poissons pêchés plus vite qu'ils ne peuvent se reproduire.

Sous l'effet de la déforestation, 13 millions d'hectares disparaissent chaque année.
Selon la liste rouge des espèces animales et végétales menacées publiée par l'Union internationale pour la conservation de la nature (UICN), plus d'un tiers des 41.000 espèces mises sous surveillance sont menacées d'extinction.

17 septembre 2008

Visions de la vie après la vie

Parvenues au seuil de la mort, des millions de personnes racontent avoir quitté leur corps et visité d'autres mondes. Cela prouve-t-il que la vie existe après la mort, ou s'agit-il simplement des soubresauts d'un cerveau à l'agonie ?

Quand le KGB assassina Tsotnié Grigorievich Rodonaya, un dissident géorgien, l'opération fut menée avec soin. La voiture qui l'écrasa roula une seconde fois sur son corps afin de parachever le travail. Ce corps malmené – fracturé du crâne et de la colonne vertébrale – fut ensuite transporté à la morgue, et congelé en attendant l'autopsie. Trois jours plus tard, au premier coup de scalpel, Rodonoya ouvrit les yeux. Le médecin légiste les lui referma avant de poursuivre sa tâche. De nouveau, le cadavre rétif ouvrit les yeux : contre toute attente, Rodonoya était encore en vie.
Stupéfiante en soi, sa survie est bien moins étonnante que ce qu'il raconta plus tard au sujet de son expérience. Alors qu'il était « mort », il fut attiré dans un monde lumière où les lois de la science n'avaient plus cours : il pouvait se déplacer partout dans ce monde, voir à travers les murs, lire dans les pensées des gens et explorer le temps.
Aucun médecin n'aurait pris ses propos au sérieux si Rodonoya n'avait apporté des preuves concrètes : au cours de ses « voyages », il avait entendu les cris d'un nouveau-né provenant d'un hôpital voisin. Grâce à sa vision pénétrante et à sa perception accrue, il vit que l'enfant avait une fracture de la hanche, non décelée à la naissance. Dès qu'il retrouva la parole – trois jours après la tentative d'autopsie –, il informa le personnel hospitalier de l'état réel de cet enfant.
Normalement, Rodonoya n'aurait même pas dû connaître l'existence de ce bébé et moins encore la lésion dont il souffrait. Une radiographie de l'enfant lui donna raison. Aujourd'hui encore, la seule explication à ce mystère reste celle fournie par Rodonoya lui-même.

Eléments de preuves

Tsotnié Grigorievich Rodonaya, « mort » en 1976 est aujourd'hui prédicateur méthodiste au Texas. Il fait partie d'un nombre croissant de personnes qui affirment avoir connu une expérience de mort imminente (EMI). Schématiquement, on considère être en présence d'une EMI lorsqu'une personne en état de mort clinique recueille des visions de l'au-delà avant d'être ramené à la vie. Le phénomène a toutes les caractéristiques d'un mensonge bien ficelé car il est impossible à prouver et, de plus, tout le monde a envie d'y croire. Mais s'agit-il vraiment d'un mensonge ?
Le nombre de témoignages concordants semble indiquer que non. Une étude effectuée en 1992 démontre que, sur le seul territoire des Etats-Unis, 13 millions de personnes ont expérimenté une forme d'EMI. Et d'autres études soulignent que de telles expériences se recensent par millions dans des pays comme l'Inde, la Chine, le Zaïre et même en France. Quelles que soient leur religion ou leurs croyances, les sujets d'EMI décrivent leur expérience de manière identique : leurs visions et sensations sont très semblables.

Dans la lumière

Au cours d'une EMI classique, le mourant quitte son corps et survole le monde comme s'il était un oiseau. Il pénètre ensuite dans un tunnel sombre au bout duquel se trouve une lumière brillante. Il entre dans cette zone de lumière et est alors enveloppé d'une sensation de paix, souvent associée à l'apparition d'une représentation de « Dieu » – dans certains cas, cette image est remplacée par une vision de l'Enfer. Une fois dans la zone de lumière, une voix questionne le sujet : qu'a-t-il appris ? Qu'a-t-il fait de mal ?
Puis la voix lui explique, ou il le comprend de lui-même, qu'il lui reste encore des choses à accomplir et qu'il doit réintégrer son enveloppe corporelle. Il obéit, à regret, et retourne à une vie terrestre où désormais toute peur de la mort a disparu et où le sens matérialiste est remplacé par une attitude spirituelle de grande ouverture vers autrui.
La similitude existant entre toutes ces expériences donne une certaine réalité au phénomène. Mais une question subsiste : s'agit-il uniquement d'une transformation spirituelle ou bien de la résultante d'altérations physiologiques ?

Une mort cérébrale

Pour Susan Blackmore, parapsychologue à l'Université West of England, nombre d'EMI peuvent s'expliquer par les effets de l'anoxie, c'est à dire l'insuffisante oxygénation du cerveau.
« Lorsque le cerveau se meurt, dit Susan Blackmore, il continue à modéliser des environnements, mais en utilisant la mémoire et l'imagination – et non les sens. S'apparentant aux rêves ou aux souvenirs, ces perceptions peuvent très bien être effectuées “à vol d'oiseau”. »
Toutefois, la thèse de Susan Blackmore a été fortement contestée. Le professeur David Fontana fait remarquer « qu'au cours de nombreuses EMI, les sujets parlent de faits qu'ils ne peuvent pas connaître (notamment des techniques médicales), impossibles à construire à partir de la mémoire ou de l'imagination. » Plusieurs expériences effectuées sur des volontaires viennent cependant étayer et confirmer l'argumentation de Fontana. Lorsqu'ils sont placés faiblement alimentée en oxygène, les facultés physiques et mentales des sujets se trouvent diminuées – y compris la mémoire. Et si certains d'entre eux ont signalé des hallucinations, aucune n'avait la clarté des EMI.
Susan Blackmore avance que l'anoxie n'est certainement pas l'unique cause des EMI. Le même phénomène peut résulter d'une sécrétion d'endorphines. Substances proches de la morphine, naturellement sécrétées par le cerveau en période de stress, les endorphines provoquent notamment l'euphorie des coureurs de fond et masquent la douleur immédiate quand, par exemple, nous nous brisons un os dans un accident. Selon cette thèse, lorsque l'on est au seuil de la mort, les endorphines constitueraient une sorte d'oreiller fourni par la Nature pour le « long sommeil ».

Visions de l'Enfer

L'explication fondée sur les endorphines comporte des failles. Si le cerveau cherchait à nous protéger de la douleur, il le ferait avec des images agréables. Or toutes les EMI ne sont pas agréables : certaines de ces expériences sont en effet associées à d'affreuses visions.
Tout comme pour les « paradis EMI », les « enfer EMI » sont décrits par les sujets avec une remarquable uniformité. Le Dr Maurice Mawlings, cardiologue, a noté que plusieurs de ses patients cardiaques signalaient avoir eu des visions épouvantables lors de leur EMI.
« Je me suis trouvé au-dessus de la table d'opération », témoigne un de ses patients. « J'étais ensuite poussé vers un endroit sombre, rempli d'un air chaud et chargé de particules. J'étais terrifié. J'avais le sentiment que des choses me regardaient – peut-être des démons ou des monstres. Je criais pour qu'on me laisse sortir. Je me suis alors retrouvé dans mon corps. Maintenant, je suis terrorisé à l'idée de mourir, et je dors avec la lumière allumée. J'ai pourtant dépassé la cinquantaine ! »

Euphorie de l'effort

La thèse des endorphines devient encore moins convaincante lorsqu'on examine le phénomène de l'euphorie du coureur. Comme le fait remarquer le professeur Fontana, très peu d'athlètes connaissant cette euphorie, que ce soit pendant des matchs de rugby ou lors des marathons, relatent avoir vécu des EMI au cours de cette expérience.
D'autres sportifs, des alpinistes ou des navigateurs en solitaire, ont signalé effectivement des épisodes similaires à des EMI, mais il ressort que ces perceptions sont davantage liées à un réel danger de mort plutôt qu'à l'euphorie du coureur de fond.
Prenons le cas de Jacqui Greaves, une alpiniste qui, en 1994, fit une chute dans les Cairngorms, en Ecosse, et passa quelque 16 heures dans une crevasse. « Je suis entrée dans un état vraiment très étrange » raconte Jacqui. « J'avais quitté mon corps et je marchais dans un paysage très beau, tout bleu. C'était merveilleux et je n'avais plus la sensation du froid. » Cette expérience semble également avoir donné à Jacqui l'énergie nécessaire pour construire un igloo de fortune, ce qui lui a permis de rester en vie le temps que les secours l'atteignent.
Les EMI peuvent également être présentées comme une hallucination déclenchée par la réaction du cerveau à certains produits pharmaceutiques, voire à un empoisonnement du sang résultant d'une insuffisance rénale. La morphine et d'autres hallucinogènes étant administrés pour soulager la douleur d'un mourant, il serait logique de penser que ces produits sont à l'origine des phénomènes rencontrés au cours d'une EMI.
Cependant, dans la plupart des EMI, la pharmacologie ne joue aucun rôle. Selon Steven Ridenhour, un toxicomane qui a tenté de revivre son EMI avec toutes les substances illégales possibles et imaginables : « aucune de ces drogues n'a donné le même résultat. J'étais très loin de retrouver ce que j'avais connu lors de mon EMI. »
Dans presque toutes les EMI, les sujets sont profondément changés, physiquement et mentalement, après leur expérience. Et quoi qu'en disent les sceptiques, il y a là des constatations dont il est difficile de ne pas tenir compte.

Guérison miracle

En 1982, Mellen-Thomas Benedict, caméraman de cinéma, était atteint, selon le diagnostique médical, d'un cancer incurable. A son « décès », il connut une EMI qui dura 90 minutes, pendant lesquelles il expérimenta les effets classiques des EMI avant de retourner à la vie. Cet épisode pourrait être expliqué de façon scientifique, excepté un détail : lorsqu'il revint à la vie, son cancer « incurable » avait totalement disparu.
La guérison de Benedict met en évidence le fait que les EMI, censées être un phénomène purement mental, peuvent avoir une incidence physique. Deux études indépendantes recensent une gamme d'effets secondaires apparus après la survenance d'une EMI chez 80 à 90 % des sujets : intensification de certaines allergies, baisse de la tension artérielle et apparition d'une intolérance aux bruits forts, à des lumières intenses ainsi qu'à certains produits ménagers.
Une de ces études signale également un certaine sensibilité à l'électricité. Les sujets rapportent qu'en leur présence les ampoules électriques ont tendance à sauter (35 %), les ordinateurs à présenter des défaillances (20 %), les télévisions à mal fonctionner (54 %)... sans parler des montres qui s'arrêtent toutes seules et des liaisons téléphoniques interrompues.

Que conclure ?

Alors, où se trouve la vérité sur les EMI ? Sommes-nous d'ailleurs certains d'avoir la réponse le jour de notre mort ?
Dans ce débat, la science apporte sa contribution jusqu'à un certain point. L'anoxie, les drogues et les endorphines peuvent expliquer beaucoup de choses, mais éludent l'approche des phénomènes paranormaux étudiés.
Comment Rodonoya a-t-il pu affirmer l'existence d'une fracture de la hanche chez un nouveau-né qu'il n'avait jamais vu auparavant ? Qu'est devenu le cancer au stade terminal diagnostiqué chez Mellen-Thomas Benedict ? Il est difficile, dans de tels cas, d'avancer une explication simple et convaincante.
Il ne fait aucun doute que ces expériences sont réelles, mais quelles conclusions pouvons-nous en tirer ? Tout indique que les sujets d'EMI ont des visions semblables, indépendantes de leurs croyances religieuses. Sont-elles dues au fait que l'esprit se détache du corps à l'approche de la mort ? Cet état de perception accrue correspondrait-il alors à des capacités psychiques inexploitées ?

Une nouvelle vision de la vie

Dans son livre Mort et conscience, le parapsychologue David Lund suggère que « la perception extrasensorielle pourrait apparaître avec une vigueur accrue lorsque l'influence du cerveau diminue, pour ensuite disparaître totalement. » C'est ce qui se produit au cours d'une EMI : l'état de conscience perdure après que le corps (y compris le cerveau) a été déclaré en état de « mort clinique ».
Il est par conséquent possible, si les EMI résultent d'une « mort cérébrale » libérant nos capacités psychiques, que les expériences de mort imminente fournissent au sujet non pas un aperçu de l'Au-delà, mais bien de leur propres capacités ou sensibilités psychiques jusqu'alors en sommeil.
Pour cette raison, alors que les EMI ne nous apprennent rien de définitif sur la vie après la mort, elles nous révèlent quelque chose d'encore plus fascinant sur nous-mêmes.

The Blue Cats - Un des meilleurs group de JAZZ a Montreal

The Blue Cats website: ICI

The Bluecats Blues Band was born out of Montreal in june 2008, quatuar of excellents musicians who built a project around the passion of the old Blues and Jazz music of the 1940's.The band is André Brisebois(Bass+vocal)with 30 years experience on Bass and the Blues scene in montreal;Michelle Bouchard(Drums)with 20 years experience on drums (read her musician profil on myspace)Joey Stafford-Abbott(Guitar+Back Vocals)talented young musician with a great future;Warren Palmer(Trompettist)With more than 30 years on Jazz scene in Vancouver to Montreal .The band did special work on the material to find a original sound,that is truly different from most Blues Bands.giving the Blues a new outlook .Original material is in the making for 2009 coming album.Also,last september 2008 we did the promotion for the Peinture en Direct at the Foufounes Électriques in Montreal for their 25 anniversary


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The Bluecats est née à montréal en juin 2008,c'est un Quatuar d' excellents musiciens qui on monté un projet commun pour leur passion de la musique Blues et Jazz des années 1940.Le groupe est formé de André Brisebois(Bassiste+Vocal)avec 30 annees d'experience a la bass et dans la scene Blues de Montreal;Michelle Bouchard(Drums)avec 20 ans d'experience au drums(voir sa Biographie sur myspace)Joey Stafford-Abbott(Guitar+Back vocal)tres talentueux musicien dans le style de Blues-Jazz.Nous avons fait des arrangements musicaux sur les interprétations pour trouver un son original qui nous ressemble.On a mis nos propres couleurs.Nous travaillons sur des compositions pour faire un album pour 2009. Aussi en septembre 2008 nous avons fait la promotion pour les peinture en direct au Foufounes Électriques pour leur 25 anniversaire.


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